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Nouvelles directives européennes concernant
Les ALLÉGATIONS ET LA PUBLICITÉ POUR LES DENRÉES ALIMENTAIRES
Ces directives, et les législations nationales des états membres, régularisent entre autres les allégations et la publicité pour les remèdes naturels, les extraits de plantes, etc. (les consulter: cliquer ici)
Le principe revient à :
• soit on vend des remèdes, alors on ne peut pas dire à quoi ça sert (sauf si ça a été prouvé scientifiquement)
• soit on explique à quoi ça sert (c’est le cas de notre école), alors on ne peut ni les vendre ni faire de la pub.
Dès lors:
• Nous avons dû retirer les adresses et les liens vers les sites où on vend ces produits.
• Nous ne pouvons pas répondre aux demandes où trouver des produits (de qualité). Nous en sommes désolés, mais c’est ainsi …
En aucun cas, nous vendrions des produits nous-mêmes.
Discussion
Cette législation est là pour protéger le consommateur.
Dans le cas d’une école comme la notre, nous trouvons que le fait de ne pas pouvoir diriger nos élèves vers des produits de qualité, un peu tiré par les cheveux.
Neanmoins, de nombreux abus sont présent où le profit prévaut sur la santé du consommateur …
À part certaines écoles qui vendent quand même ces produits, plus rependu encore est la pratique de vente de produits par des naturopathes et par d’autres prestataires de Méthodes Complémentaires & Alternatives (CAM).
Là, nous nous opposons à 100%. C’est jouer le rôle de médecin et de pharmacien en même temps !
Facilement on médit de tous le avantages que reçoivent les médecins de la part de l’industrie pharmaceutique. Mais les vendre soi-même, en principe c’est pire !
Selon la déontologie déjà, un client doit être 100% libre de choisir s’il veut oui ou non soit en partie suivre la prescription qu’il a reçu. Vendre les remèdes lors de la consultation limite cette liberté.
En plus, le client sera toujours dans le doute: « est-ce que on m’a prescrit cela parce que j’en ai besoin, ou pour gagner de l’argent ». Semer ce doute est bien la dernière chose qu’on veut en tant que praticien CAM, un doute qui risque bien d’empoisonner sa relation avec son client …
Inutile peut-être de souligner que notre école suit cette déontologie de façon stricte !
YAH asbl